Le repère de chez Ursulle.

C'est un regard noir que jeta Eglantine en voyant apparaitre enfin la mère Ursulle .

Mais avant de lui répondre elle tourna sa langue dans sa bouche , et gesticulent s'avança vers elle .

je me demande bien ! où sont les corneilles ?
moi! je hurle ! ohh mais vous ! votre voix minaude comme une crécelle !
je suis peut être trop vêtue ! mais vous ! vous êtes charpentait à briser une balancelle
bon ...
madame je me présente
je suis Eglantine je vends des fleurs !


Eglantine se dit qu'il fallait être aimable si elle voulait vendre ses fleurs et elle passa sa langue sur ses lèvres et regarda la mère Ursulle

aller faite un bon geste et acheter moi mes fleurs , un jolie bouquets pour faire rêver vos filles , dans leurs chambres ! ça va leurs changer leurs quotidien non ?

Eglantine songeait que ces dames avaient du courage , car passer les journées et les nuits a sentir les odeurs corporelles de ses messieurs en rut , c'était pas vivable .
au moins le doux parfum des fleurs égayerai leurs vie

Lady trouver que Madame Ursulle était bien longue a ce décider , elle lui avait parler de sa proposition , mais elle ne lui avait pas répondu, cette femme était revêche finalement , lady regretter sa démarche , elle avait surement du pouvoir , pour gouverner ses filles , mais ,lady détester les gens hautains , et Madame Ursulle , lady la trouver vulgaire et hautaine .

lady quitta le salon enveloppée de tentures de mauvais gout et laissa ses amies Belleetoile et Monsieur Crincrin qui visiblement aimer bien les plaisirs de la chair .

revenant dans l'entrée elle remit ses souliers de satins et surprise elle aperçut la marchande de fleurs en grande et violente discutions avec la tenancière .

lady fut bien contente de revoir Eglantine la marchande de fleurs , elle interrompue leur conversation .

___ Eglantine vous ici !! ohh et avec vos fleurs ! quel bonheur !
c'est sur que l'établissement a besoin de fleurs ses appartements sont décorés de très mauvais gout , si vous passez la porte vous verrez par vous même !

lady regarda Eglantine et la tenancière Ursulle haussant les épaules elle regarda de nouveau la dame Ursulle

__ eh! bien puisque mes dentelles ,ma couture ,ma broderie ne vous intéresse point achetez donc ses Fleurs ?

Aliziane avait traîné à droite et à gauche, désoeuvrée, le coeur en miettes ! Ne sachant où proposer ses services dans la ville et pensant qu'elle n'était pas si vilaine, elle alla vers Ursulle !

Son bel amour en aimait une autre ! C'était la vie même si c'était dur à admettre ! Il ne l'aimait pas, il lui avait fait croire à un avenir radieux et il en préférait une autre, plus fraîche, plus jolie !

Elle frappa à la porte, avec un peu d'appréhension...

Aliziane attendit un long moment devant la porte mais ne vit venir personne. Elle se dit qu'elle ne ferait pas carrière là non plus !

Bon, me reste plus que l'armée alors ! Elle soupira car elle avait le coeur tendre et n'envisageait pas avec plaisir le fait de devoir tuer !! Et encore moins d'être tuée d'ailleurs... Mais bon, fallait bien faire quelque chose.

Elle tourna donc les talons et partit s'engager dans les armées du Roi

Ursulle ne savais plus ou donner tète , entre les filles , les clients et les dames qui attendaient.
bon ,une à la fois , une à la fois .....

dame ladyday , pour sur que nous avons quelques accroches sur la lingerie , des clients trop pressés ou trop sauvage entrainant bas filés , corset distendue et tout ca , vous voyez

il est sur que les talens d'une couturiere nous serait fort utile , voire meme creer de nouveau accesoire de lingerie mutine si vous voyez ce que je veut dire

bien sur vous serez rémunérez pour vos services

elle s'adressa , maintenant à églantine , la femme fort mal vêtue et à l'accent argotique

des fleurs ??? des FLEURS ??? et bien , j'ai pour habitude de les cueillir moi même dans la foret ....
mais si vous me procurer roses et dahlia au moindre cout nous pourrions peut être faire affaire .....

emmenez moi donc un bouquet de rose et de dahlia et nous verrons ce que nous pouvons faire


lorsque elle aller s'adressa à la derniere femme , elle rebrousser déja les talons , Ursulle lui courit aprés en l'interpellant

youuuhouuuu ma jolie ne t'en vas déja

elle examina la femme

oooh , de fortes cuisses et de belles bouées ....
ne voudrais tu pas , avoir un emploi stable grâce à tes charmes ma mignonne ?

ça jacter dans tout les sens ...La mère Ursulle visiblement connaissez rien au fleurs ...
qui plus est elle les ramasser dans la forêt , il devait pas y avoir grand chose dans la forêt, surtout que le Mois de Novembre était là , et qui devait y avoir que des chardons a trouver et a cueillir .

Eglantine reprenant ses paniers toisa la mère Ursulle avec mépris .

je vais voir ce que je peux faire Ursulle et je reviens vous apportez ceci !
si dans 5 jours je suis pas revenue , c'est que je serais dans la forêt à chercher du millepertuis !!


Eglantine la salua rapidement et partit vers son logis en se disant ..." quelle rombière celle là ...

Lady fut prise d'un fou rire en entendant médire la Marchande de fleurs , qui repartait comme elle était venue .

elle riait de sa remarque faite sur la tenancière , lady penser que quand même elle exagérer beaucoup !
sur que Madame Ursulle n'était pas une référence a parler dans les salons de la haute bourgeoisie , mais quand même la traiter de rombière c'était pas très gentil .

Lady en riant regarder la tenancière et lui répondit gentiment .

Dame ladyday , pour sur que nous avons quelques accroches sur la lingerie , des clients trop pressés ou trop sauvage entrainant bas filés , corset distendue et tout ça , vous voyez

il est sur que les talents d'une couturière nous serait fort utile , voire même créer de nouveau accessoire de lingerie mutine si vous voyez ce que je veut dire

bien sur vous serez rémunérez pour vos services

c'est parfais , j'ai de tas d'idées ! vous savez j'ai observait votre décoration , je trouve qu'elle est de très mauvais gout ! j'ai ouvert les placards de toute les chambres , je dit bien de toute !! vos filles s'en sont donner à cœur joie , pour m'aider !
donc je vous propose cela !
je vais broder de jolies galons , pour les corsets , les guêpières , je vais y coudre des cabochons , je remaillerai les bas de vos filles , et comme je tisse la laine , je ferais des tentures également , car permettez moi de vous dire que vos murs sont fades , les tapisseries sont jaunies , et il y des odeurs bien bizarres...
tout cela va bien occupée mes longues soirées d'hiver dans mon auberge !
et puis je vous ferrait un prix ! je suis bien contente ! et ... vos filles le seront aussi !!!voilà nous faisons affaire !

lady s'avança vers Madame Ursulle ,elle lui serra la main fortement et lui fit un grand sourire .

l'église sonner les vêpres ,et lady quitta ce lieu pour aller les écouter le cœur joyeux se promettant de revenir avec tout ses petits trésors créer de ses mains , pour les filles de la maison

Crincrin s'était fait oublier dans un coin de la maison. Il observait avec amusement la situation. Finalement, peu d'hommes à part un sergent et lui même y étaient entrés. Mais alors, quel nombre de femmes!
Solidarité féminine? Peut-être! Curiosité? Plus surement!
Nous avions là: une belle endormie, une couturière qui proposait ses services. Plus tôt, une fleuriste avait essayer des vendre quelques bouquets et une candidate hésitante aux métiers de l'amour avait semble-t-il renoncé.
Crincrin se leva et salua les occupantes de la "Maison" .

Mesdames, vos formes sont plaisantes à regarder mais hélas, si mon bouche a bien envie d'y gouter, mes poches vides m'obligent à suivre une diète sévère. Si Dame Fortune me sourie un jour,, qui sait si je ne viendrais pas pour vous revoir.

Il s'inclina dans un genre de révérence.
Passant tout près de Lady, il entendit la conversation et malicieusement, il lui suggéra:

Du cuir, Madame! Du cuir résistant et moulant à la fois!

Après un dernier salut, il se dirigea vers la porte de sortie en chantonnant:

Qui veut entendre une chanson
De quatre filles de ce canton ?
Le tour est plaisant, on peut bien en rire.
Qui n'en rirait point serait bien chagrin.

Ces quatre filles, le samedi,
Ont emprunté de beaux habits.
Dimanche au matin, faisant leur toilette,
Elles s'en vont du droit dans le cabaret.

Madame l'hôtesse voyant entrer
Ces quatre filles de qualité :
— Asseyez-vous donc là, mes belles,
On vous servira tout ce qu'il faudra.

— Des pigeonneaux, des dindonneaux,
Des p'tits gâteaux, c'est c'qui nous faut.
Et puis du bon vin, du vin de Bourgogne…
— On vous en donnera tant qu'vous en faudra.

Quand les quatre belle eurent bien mangé,
Madame l'hôtesse vient pour compter :
— Faudra me payer, leur a dit, mes belles;
Il est bientôt temps de se retirer.

— Madame l'hôtesse, combien devons-nous ?
Nous n'avons que quatre sous pour tout
— Me faut trois écus, dites-moi, les belles;
Des habillements ou bien de l'argent.

A bien fallu se déshabiller
Et sans pouvoir plus retarder.
Et c'était honteux pour les pauvres filles,
Tout le monde riait dans le cabaret.

le sergent se rassasiez en galante compagnie , une main sur une belle cuisse à peine couverte de soie , l'autre sur un postérieur bien moulé et le nez dans 2 superbes mamelles toute douce .
il discutait aussi , en attendant de repartir prendre sa vengeance avec une filles.

mais .... dame ursulle , dame ursulle , cette fille la bas est une marquise ?
elle dit sans cesse que seul du sang bleue la touchera ?

le sergent se gratta l'entrejambes avant de se dire de se faire discret , la moitier de la ville est ici

Ursulle se gaussa des dires du petit sergent

hey oui mon lapin , Veronica est une ancienne marquise mais qui garde ses coutumes ...
elle n'accepte que les sang bleue et à prix forts , je pense que vous ne vous feindrez pas de 8 livres pour un moment avec elle . mais vous passer coté d'un chat doux comme le miel.
justement elle à un client en ce moment , un marquis de passage



Ursulle riait encore en voyant la scene


Une fois à l'abris des regards Monsieur le marquis constate une fois de plus que les trous de souris sont trop étroit. La marquise quand à elle se garde de faire remarquer que les rats ont toujours la langue bien mieux pendue que la queue


en regardant emplie de fierté sa fille ici la , elle se mit à chantonner


Biroute par-ci, biroute par-là,
Ca fait du bien où ça passe,
Biroute par-ci, biroute par-là,
Salope tu aimes bien ça.
La pine au con, la pine au cul,
Elle est vraiment dégueulasse.
Pine au cul, pine au con,
Nom de Dieu que c'est bon.

Le cul de la marquise,
Voulez-vous que j'vous dise,
C'est une paillardise,
Que je baiserai bien,
Que je baiserai bien,
Que je baiserai bien,
Si j'avais les moyens.

Parents de gourmandises,
Voulez-vous que j'vous dise,
J'enlèv'rai sa chemise,
Pour lui p'loter les reins,
Pour lui p'loter les reins,
Pour lui p'loter les reins,
Au duvet de satin.

Le con de la marquise,
Voulez-vous que j'vous dise,
Quand on le clitorise,
Il mouille, mouille bien,
Il mouille, mouille bien,
Il mouille, mouille bien,
Dans le creux de la main.

Les seins de la marquise,
Voulez-vous que j'vous dise,
Ont des petites cerises,
Que je sucerai bien,
Que je sucerai bien,
Que je sucerai bien,
Jusqu'au petit matin.

La bouche de la marquise,
Voulez-vous que j'vous dise,
A des lèvres z'exquises
Où je glisserai bien,
Où je glisserai bien,
Où je glisserai bien,
Mon gros dard de payen.

Fafounet aperçut enfin la lanterne de cette satanée crotte de bique de maison qu'il cherchait désespérément depuis plusieurs jours !
Il avait surpris quelques conversations à voix basse dans les tripots malfamés de Rouen qui évoquaient une maison close discrète et bien cachée que seuls quelques privilégiés connaissaient. Impossible d'avoir des précisions, d'obtenir une adresse, les initiés ne révélaient rien d'une part, pour ne pas y retrouver trop de monde et, d'autre part, et charitable intention, pour que justement une trop grande affluence ne gâte trop les filles !

Fafounet en avait été réduit à chercher lui-même ce havre de stupre, ce palais de la fornication et bien sûr, sans oser demander son chemin à quiconque, car, à Rouen et ses environs, la grande silhouette cahotante du Maire était facilement reconnaissable.
Il avait revêtu des habits plutôt sombres, sur lesquels il avait glissé une grande cape tandis qu'un immense chapeau dissimulait une bonne partie de son visage.

Arrivé sur le seuil de la maison, il tambourina contre la porte :

Oh la ! s'écria-t-il, y-a-il ici quelqu'un pour accueillir un homme qui peine sous le poids de ses bourses ?

Eglantine elle était toute fière , elle s'était décarcasser pour trouver et composée les bouquets que la mère Ursulle lui avait demander .

et méfiante car elle voulait pas attendre de longues heures devant le tripot et que le bon vouloir de la dame Ursulle vienne ouvrir sa porte .

elle avait mis a ses pieds des pantoufles en laines , roses a poids vert , , cette foi ci elle avait laisser ses bobines a talons pour ne pas souffrir des pieds , là cette fois ci elle était a plat sur les pavés et elle n'avait pas mal a ses pieds .

elle s'approcha de l'homme qui se tenait devant la porte et qui parlait haut et fort .

alors mon bon Monsieur on fait le planton ?
vous êtes un chiffonnier ?

Eglantine se tenait derrière son dos et regarder de long en large ses habits .

Fafounet faillit s'étrangler ! Un chiffonier ? Lui ? Ca va bien qu'il faisait nuit, on ne pouvait pas en vouloir à cette petite qui ne devait pas avoir bien les yeux en face des trous.
Elle était chargée de fleurs et Fafounet s'offrit à l'aider :
Bonsoir Demoiselle, dit-il avec une politesse qu'on ne lui avait jamais enseigné. ... Si je peux vous soulager de ces fleurs, je serais ravi d'être agréable à une jolie Dame ! ... Au fait, connaissez-vous un moyen d'entrer dans cette maison ?

Eglantine regardant le chapeau de l'homme fut soulager qu'il se retourne là au moins elle voyer ses yeux .

les yeux de l'homme lui semblait être un drôle de coco , ,mais sa voix était charmante , et elle était grave ,comme elle les aimer .

eglantine lui rendit son salue poliment .


Monsieur bonsoir ! m'aidez ? eh! bien pourquoi pas , je vois que vous piétiner le pavé là
tenez prenez donc les dahlia ,et moi je garde le bouquet de roses !

Eglantine lui donna dans ses mains le bouquet de dahlia et lorgnant toujours son visage


passa devant lui se dirigeant vers la lourde porte posant sa main de libre sur la poignet s'exclama sur d'elle

venez donc ! suivez moi je vais ouvrir cette porte ! ouvrez grand vos yeux et soyer toute ouïe !car je sais l'accueil que l'ont va nous réservez ! moi je viens livrer des fleurs !
vous ....je sais pas ....mais je pense pas que vous veniez pour une affaire !!!

Eglantine ouvrit la porte bien fort et s'écria en mettant ses pieds chaussées de ses pantoufles de laine , sur les dalles du tripot , enveloppées de fumée d'opium .

ohé ohé Ursulle ! Mesdemoiselles ! voila la marchande de Fleurs et un bien beau Monsieur !!!!

la rampe de l'escalier craqué sous les pas d'Eglantine , son bouquet de roses commençait a se fanées et elle chercher désespérément la mère Ursulle .

marchant d'un pas feutrée , sur qu'avec ses pantoufles de laine elle faisait point de bruit , personne ne pouvait l'entendre , mais elle ! elle voulait pas passée la nuit ici , dans ce lieu pas sur qu'il y est des chambres d'amies dans ce tripot .

et toujours en visitant les lieu ,elle tomba sur un portrait
le détaillant longuement elle poussa un oh de surprise .

ça se pourrait que ce soit la dame Ursulle dans sa jeunesse ? si c'est elle !elle était bien jeunette et fort belle bien mince d'ailleurs , car a y voir de plus prêt là on dirais une truie !

eglantine resta les yeux rivées sur le portrait en souriant .

Fafounet prit le bouquet de dahlia que lui tendit la jeune femme et il lui emboita le pas dans la drôle de maison. Elle appela une certaine Dame Ursulle qui ne répondit rien.
La maison semblait déserte et la compagne de Fafounet en était la première étonnée. Après avoir appelé plusieurs fois la Dame Ursulle la voilà qui maintenant se déplaçait sans faire de bruit comme un voleur dans une maison.
Elle s'arrêta devant un portrait que Fafounet admira à son tour. C'était celui d'une jeune femme plutôt appétissante. Fafounet interrogea :
Chère Madame connaissez-vous cette beauté ? Si oui, présentez-la moi sur le champs ! J'avoue qu'elle me fait un effet des plus fous !

Mais à écouter la demoiselle Fafounet fut déçu. Il s'agissait visiblement d'un portrait vieux de quelques dizaines d'années et la jeune et jolie personne avait, semblait-il, pas mal changé depuis.
Dommage, dit Fafounet, je lui aurais bien parlé du pays à cette donzelle !
Il se retourna alors vers la charmante marchande de fleurs :
Pardonnez-moi, très chère, mais je manque à tous mes devoirs ! Vous aussi êtes très jolie et vous avez au moins l'avantage d'être en chair et en os et vous êtes de très loin, la plus belle de toutes vos fleurs.

Toujours devant le portrait Eglantine écouter l'homme au chapeau parler .

elle se tourna face a lui et souleva le rebord de son chapeau , elle voulait voir ses yeux , de quoi ils avaient l'air , une chose était sure c'est qu'il était bavard , et en plus il lui disait qu'elle était belle comme ses fleurs !
eglantine souriait , elle souriait vinaigre , sur que cet homme n'arriver pas la cheville de son défunt époux , tendre calinoux tout a la fois déroutant mais combien désarmant dans ses regards , ses gestes ,ses mimiques ses mots d'amour a n'importe qu'elle situation !
non fallait pas penser a Dédé il était mort sur un champ de bataille ...

Eglantine chassa ses pensées nostalgiques et se fit aimable devant l'homme car un jolie compliment était toujours agréable a entendre .

Vous causez bien Monsieur ! Monsieur ? c'est quoi votre petit nom ? j'aimerai bien savoir a qui je cause ! et puis enlever donc ce chapeau ridicule , que je regarde vos yeux !!!

eglantine se dit que finalement c'était pas un bon jour a mettre des pantoufles de laine
elle ressembler peut être a une fleur , mais elle était perclus de rhumatismes et ses pieds étaient déformés

Ursulle finissait de preparer quelques petits outils de plaisir dans le petit donjon de l'arriere salle avec une des filles , Judith quand elle entendit du bruit dans le hall
elle si rendis pour voire dame Eglantine chargé de fleurs et un homme fort disgracieux qui observaient les portrait sur le mur

et mieux mes chatons , vous pouvez faire les voyeurs sur ces tableaux c'est gratuit

elle se mit a ricaner bruyamment en se tenant la poitrine avant de cacher derrière son dos une cravache qu'elle avait oublier pendante sur son épaule

hum , vous ete la devant le tableau de mon arriere grand mere ....
la bas , ma mere , qui gere les comptes de la boutique



et pour le monsieur la qui semble intéresser , voila mon portrait juste au dessus du bureau



faite donc connaissance avec ma fille et prenez note de la feuille des prix , monsieur

alors ma belle , tu a les fleurs que j'ai demander , aaah les roses
parfait pour le donjon , ce que les femmes préfères ce sont les épines

et les bouquets de dahlia pour le comptoir , je pense que nous pourrons faire affaires par la suite ma jolie
passe donc prendre ton dues après la soirée de travail

Crénom d'une pipe ! s'excusa Fafounet. C'est bien vrai que je ne me suis pas présenté. Pour tout vous dire ma chère amie, j'aurais bien voulu rester incognito mais finalement, à quoi bon jouer à cache-cache de la sorte ? Il n'y a que soit même qu'on cherche à tromper !
... Je me nomme Fafounet et suis ravi de vous rencontrer !

Il retira son chapeau et se mit à rire :
Voilà ma bobine, j'espère qu'elle vous agrée ? Mes yeux sont verts et aiment s'attarder sur les jolies femmes, ce qui ne manque point de me causer quelques ennuis.
Sera-ce tout, ma bonne Dame, ou désirez-vous que je retire un autre vêtement ?

A cet instant une Dame entra qui les ragarda en ricanant.
Ce devait être la patronne du lieu.
Elle invita Fafounet à admirer son portrait où elle apairaissait à demie-nue dans un fauteuil :

Charmant, Madame ! Positivement charmant ! s'exclama-t-il emballé par la splendeur du portrait.
La feuille des prix, dites-vous ? ... Je ne l'ai point vue mais je doute que ce soit un problème ! Que proposez-vous donc comme attraction ?

Eglantine fut soulager de voir enfin ... arriver la mère Ursulle , elle lui donna le bouquet , pris des mains de l'homme Monsieur fafounet ! qui venait de se présenter et dont les yeux verts promettez de faire des ravages en ce lieu

n'enlever rien d'autre cher Monsieur Fafounet ! enfin du moins pas .. pour le moment , plus tard peut être ! mais je crois que cela sera pas moi , qui vous demandera de vous dévêtir!!!
votre nom me fait penser a un vin de chez nous ! la dame de l'auberge le sert !

et tout en tenant la conversation a Fafounet elle regarder le portrait de la mère d'ursulle .

si vous avez gardée son chapeau Ursulle ! je l'achète de suite il est bien beau il me plait bien !
par contre a y regarder de plus prêt votre mère , ses yeux ont dirait des yeux de vache ! c'était surement une sacré gironde !

Eglantine souriait et regardant l'autre tableau elle ne dit aucun mot , elle pensa juste ...elle devait surement jadis faire un bon glougloutage ...

Ursulle lui demander de passer après le travail ! pour Eglantine il n'était pas question d'attendre , ses fleurs l'attendait dans sa boutique ,elle laissa tomber la contemplation des tableaux les beaux yeux vers de monsieur Fafounet , et d'une voix aimable intérrompa de nouveau Ursulle .

deux bouquets chère Madame ça vous fait 6 sous ! et je veux la somme maintenant , je vais pas passée la nuit ici !

Ursulle se gloussa de l'empressement de dame Eglantine a recevoir son due.
l'empressement n'est pas bon pour savourer les choses , Ursulle en savait quelque chose , combien de clients trop presser d'effeuiller la demoiselle , n'avait même pas gouter à la chaleur de leur fleur avant d'asperger les draps , honteux et frustrer.
Pourquoi donnez de l'argent à cette femme bien aigri qui semble ne pas connaitre suffisamment souvent les joie de la chair. Ah , sur qu'une nuit de tendresse et de luxure lui ôterai son voile de mégère aigri a la verbe si forte et dominatrice.

Ursulle se redressa la poitrine serré dans son corset avant de s'avancer devant Eglantine , en se pourléchant les lèvres , avant de se tenir à moins de 4 pouce de son visage.

pourquoi vous payer d'argent cher Eglantine , vous ete ici dans une maison de plaisir et non une boutique.
acceptez donc mon payement , vous me remercierait par mille fois


Ursulle sans laisser le temps à Eglante de mots dire , lui retroussa la robe avant de plaquer ses mains sur son entrecuisse et s'agenouiller devant elle , le visage coller contre le mont de vénus.

Eglantine observait les yeux de la mère Ursulle , il avait changer de couleurs et elle devinait qu'il aller se passer quelque chose de catholique du tout .
en plus elle se dirigeait vers elle en baragouinant un discours ,et se lécher ses lèvres vulgairement .

elle avait décidé de lui répondre aussi vulgairement , mais sa voix s'arrêta net ...

bousculer la robe , le jupon elle sentait les lèvres froides , les mains calleuses poser sur sa peau , certes elle avait pas de pantins juste des bas de laine , et encore tout rapiécer , eglantine suffoquait ,et sentait la moutarde lui monter au nez , sous l'offense que la mère Ursulle venait de lui faire .

malgré son mal de pieds ,elle eut la force de pousser Ursulle violemment , de ses bras elle la repoussa de ses bras , et elle lui colla une raclé magistrale.

lâcher moi de suite , je vais vous tuer !!! pour qui me prenez vous , je suis pas bien frivole de ses plaisirs là !
je veux mon argent et de suite , pas de plaisirs comme celui là !
d'ailleurs ça me fait ni chaud ! ni froid , votre geste !je suis malade des pieds , et je suis malade du ventre aussi ! et de la tête aussi !

donner moi de suite mon argent !

je remettrai plus les pieds ici ! vous êtes une malade ! je vais aller me plaindre a la maréchaussée !

Eglantine avait rabattu ses jupons avec violence , et s'éloigna de la mère Ursulle en la traitant de tout les noms du diable , il était tant de quitter ce lieu satanique .

cela faisait longtemps que Lady n'était pas venue rendre visite a Madame Ursulle , elle n'avait plus de nouvelles , et curieusement personne n'en parler .

aucun pamphlet n'était clamer contre elle , et ses filles , et en ce matin friquet lady tenait dans sous son bras un gros paquet enroulés de papier .

elle venait apporter la marchandise qu'elle avait proposer a Ursulle quelques lunes avant .

Lady tira la cloche qui l'annonçait .

Toc TOC TOCCCCCCCCCC.....

Evangélina n'avait jamais mis les pieds dans cette demeure depuis son arrivé sur la ville.
Elle se rendit aussitôt sur les lieux en complicité de son charlatan.
Elle le regarda et lui dit:

_ Nous voilà, arriver!!

Leurs pas s'avancèrent et elle vit apparaitre sa belle soeur à l'entrée.

_ Bien le bonjour Lady! Quelle surprise de vous voir! J'ignorais que vous fréquentiez ce lieu!

Elle souria et d'un air génée, elle lui montra Faust

_ Et je vous présente Faust, mon brave ami

(Evangélina ignora que ces deux jeunes gens se connaissaient.)

A peine sortit d'une aventure, qu'ils recommencent. La maison des plaisirs, voici un endroit des plus intéressants. Il espère ne pas tomber sur le frère de sa camarade. Voyant Lady, il va la saluer.

"Ah, vous ici ma tendre amie, je ne m'y attendais pas. Remarques, une splendeur comme vous, il est presque normale de la rencontrer fortuitement dans une maison où les plaisirs sont rois. Nous accompagnerez vous ? Je me suis laissé entrainé pas ma douce amie que vous connaissez. Quels genres de plaisirs trouvent-on dans ce lieux mes splendeurs ? "

Faust joue au naïf, mais y arrive à merveille, comme toute simulation en face d'une femme.