L'auberge des Voyageurs .

Faust suit la maîtresse de maison. Sous ses pieds, ça craque. Pour le coup, il ne trépigne pas, plus attentionné à ne pas passer un pied au travers du planché. Il évite de toucher à la rampe, au cas où elle ne supporterait pas deux mains sur elle.

" Allons-y lentement mais sûrement alors. Il serait fort regrettable d'abimer ce lieu à l'image de sa maîtresse, plein de charme."

La chatte pimprenelle les avait suivie , lady montant doucement arriva devant la porte .

elle enfonça la clé verte dans la serrure et elle tourna la clé , elle poussa la porte , et se tournant vers Faust elle lui dit .

___ voilà la chambre Monsieur !!!





elle vint vers la commode et alluma la chandelle .

Faust est surpris de voir la fameuse pièce. Il reconnait volontié une babouche dans le meuble, plutôt qu'un bateau. Il se sent pied. Voyant l'émmerveillement de l'hôtesse, il ne peut qu'en faire autant.

"Et bien, voilà qui me décrit parfaitement en effet ! Elancé, toute la superbe d'un travail bien fait, invitant au voyage, et offrant un doux balottement à qui voudra bien s'y risquer."

Il rigole de ses paroles tout en se dirigeant vers le lit. Ses fesses s'enfoncent dans les couvertures. Une pensée saugrenue lui monte au lèvres :

"Oh ma douce, pensez-vous seulement qu'il flotte ce magnifique vaisseau ?"

Lady se doutait bien que le Sire Faust serait surpris , par le lit .

tout en remettant les napperons en place sur la table de chevet , elle le regarder en souriant , s'enfoncer son fessier sur le moelleux de l'édredon.

___ il flotte si on le désire Faust ! attention cette chambre est très particulière , mais ...je vous laisse découvrir , sur que vous allez bien dormir et faire de tas de rêves !

Pimprenelle s'était déjà réfugier sur l'oreiller et commencer a grogner en miaulement féroce en regardant le bois de la tête de lit .

____ suffit Pimprenelle va t'en de là zoueeeee!!

Lillou fut surprise par les actes du brave homme qui lui sembla ne témoigner guère de sentiments.
Elle regretta incontinent les déchargements subites de ces paroles, d'un point qu'elle fuya son regard d'ambre.

_ Messire, je vous présente toute mes excuses. N'apprêtez guère à mes propos que je viens de vous faire part.
Le dévoilement de mes vers n'est outre qu'une simple maladresse.

Elle le regarda tout en changeant radicalement de sujet

_ Et si nous dégustions ce délicieux breuvage?

Le lit n'est pas trop mal, et voilà la chatte de Lady qui rejoint les fesses de Faust (sans mauvais esprit).
Mais l'animal se met à tousser contre un danger invisible. Sa maîtresse qui ajoute que la chambre est particulière. Soit la boule de poils est sénile, soit, si on en croit les croyances populaires, les chats sont des protections contre le diable. Enfin, il faut l'emmurer vivant pour que ce soit efficace.

"Ma douce, dois-je m'attendre à une visite nocturne ? Oh remarquez, une âme en peine de plus ou de moins, nous nous tiendrons la jambe gaiement !"

Il vit la demoiselle changer de pose et de sujet. " c'était-il montré indélicat dans sa réponse". il se pencha en avant, posant son menton sur ses mains jointes.

-Mademoiselle je ne vois aucune maladresse dans vos vers . Le seul maladroit à cette table c'est ma personne, à vouloir vous expliquer mon absence si soudaine, j'ai été indélicat dans ma réponse. Vos vers ont empli leur office de baume sur mes tourments.

La voyant fuir son regard

-D'ailleurs , je l'avoue, j'ai joie à retrouver votre compagnie et je m'excuse si dans ma prime réponse je n'ai fait qu'ajouter un tourment supplémentaire.

Prend le verre qu'une docte main à apporter à leur table. il mire la couleur , hume les senteurs , humecte ses lèvres du breuvage incarnat et fait glisser une gorgée dans son palais et avale le vin.

-Ma foi ce vin est digne de votre harangue, mais surtout parce qu'il est dégusté en votre agréable compagnie.

Lui tendit son plus charmant sourire, pour se faire pardonner de sa maladresse.

( dans la chambre au bateau )))


Pimprenelle ne partait pas , elle regarder lady de ses petits yeux verts et brillant et continuer a pousser des miaulements féroces .

lady vint devant le lit et elle attrapa par le cou doucement , elle là posa sur son épaule ,et discrètement donna un coup de pied , sous un coffre qui se tenait sous le lit Bateau .

elle avait fait ce geste le plus discrètement possible ,elle espérer due Faust toujours aussi charmant ne devine rien ,et ne voie rien ...

comme si rien n'était et accompagner des miaulement de Pimprenelle

GRASSSSSMAIOUUUUUUUUUmaiouuuuuuuuuuuuuu

elle soutient le regard de Faust

___ cette chatte n'aime pas cette chambre , moi ! je l'adore , je sais pas ! une visite peut être , mais ...si la chambre est trop brillante la visiteuse ne viendras pas ...ohhhh!

et lady s'éloigna du lit en songeant avec un léger sourire dans ses yeux .

" Et bien et bien. C'est intéressant tout cela. Bon, prenons le large, au moins pour quelques heures."

Une fois la femme dehors, il saute sur ses pieds. La nuit arrive à peine, pourquoi s'enfermer dans une chambre des plus étranges ? Il ouvre discrètement la porte, et décide d'aller faire un tour en ville. Il jette un coup d'oeil dans la pièce avant de filer, puis la secoue en pensant aux idiotes croyances populaires. Histoires pour effrayer les gamins et les badauds. Il doit bien y avoir des choses à faire dans cette petite ville. En tout cas, Faust a quelques piécettes vite gagnées, donc vite à perdre !

Elle fut émoustiller par l'ampleur de la prose du brave homme qu'elle redressa subitement son majestueux regard de velours.

_ Messire, sachez que je me réjouie mutuellement de votre présence. Je suis fort combler par la richesse de vos mots que vous me témoigner et que ce vin vous soit d'un exquis.


Participa à l'apparition de son sourire les plus captivant.

_ Ma foi, vous a t-on jadis complimenter sur votre illuminant sourire?

Elle le regarda, troublée par ses gestes

Faisant tourner négligemment son verre dans sa main dextre , il enveloppe de son regard d'ambre le frais minois de la demoiselle qui lui fait face. De temps en temps il porte ses lèvres dans le nectar rubis qui danse dans son verre.
Elle lui fait un compliment se qui accentue son sourire franc teinté d'un zeste de charme .

-Mademoiselle , je n'ai pas souvenance qu'une apparition angélique m'ait fait compliment sur l'irradiance de mon sourire, d'ailleurs je dois dire que vous êtes la première entité angélique qui croise ma route.

Fait une légère inclinaison de la tête en signe de révérence.

Son regard de velours se porta continuellement sur le brave homme.
Elle fut ensorcelée par la magnificence de ces paroles.
Le temps qu'elle y consacra en sa gente compagnie,l'atténua dans ses malheurs.
Il lui fait une légère inclinaison de la tête ce qui l'a rendit admirablement émoustillant.


- Messire, je suis relativement touchée par votre éloge et j'avoue que ressentir votre présence à mes côtés me sois d'un soutien bien précieux.
D'ailleurs je dois vous paraitre ridicule mais voulez vous bien m'accompagner au pigeonnier?

Il finit son verre , le pose sur la table et se lève.

-Mademoiselle , montrez nous donc où se trouve ce pigeonnier que je puisse vous y accompagner. Prenez donc mon bras pour que je vous fasse une galante escorte.

Tend son bras et attend le bon vouloir de la jeune femme.

La chambre au bateau ...

Lady sortit de la chambre ,tenant pimprenelle dans ses bras , elle donna un regard rieur envers Faust et doucement s'exclama, le laissant dans ses songeries


___ aller mon poulet ! on se reverra plus tard surement ...


et lady redescendue l'escalier quatre a quatre en soupirant en gardant dans sa tête se qu'elle avait sentit sur son pied en poussant le petit coffre sous le lit bateau...

Elle attrapa le bras du bel homme et leurs pas se dirigèrent vers la sortie.
Elle vit au loin sa marraine descendre des escaliers et discrètement, elle lui fit un signe de la main.
Elle poussa la porte et la présence du vent souffla sur sa chevelure.
Tira légèrement le bras du bel homme

_ Messire, parcourons tous deux ce chemin que je puisse vous montrer la splendeur de cette ville. Laissez donc mes pas vous guidez pour que vous puissiez plus amplement jauger notre séjour.

Elle souria et l'emmena au pigeonnier.

Kylian attrapa son manteau et son feutre au passage et se laissa conduire par la jeune femme vers la sortie. L'air était frais et piquait un peu. sur le seuil , d'un geste ample il posa son manteau sur les épaules de la demoiselle , lui lâcha le bras un instant pour le faire, profitant pour viser son feutre sur son occiput et enfila ses gants en cuir.

Lui représenta son bras et ils se mirent en marche vers le pigeonnier.

Evangélina entra dans l'auberge dans l'espoir de recroiser le regard de sa belle soeur.
Au loin, elle reconnut le Messire Faust Revolin.
Elle se dirigea vers lui

_ Encore vous! Décidément, je ne fais que vous croiser mon cher ami!

Elle souria et attendit que Lady l'interpelle.

Faust sur le pas de la porte tombe nez à nez avec la délicieuse créature de tout à l'heure. Cette ville devient vraiment de plus en plus agréable. Son visage se fend d'un sourire et ses yeux ne cachent pas une petite étincelle dans leur fond.

" Sachez tout qu'il me fait terriblement plaisir de vous croiser à nouveau. S'il pouvait être partagé, j'en serais des plus ravis."

Il se penche à son oreille, amusé. Les mots glissent entre ses lèvres en un murmure.

"Certainement le hasard qui est joueur en cette fin de journée ma douce amie."

Il se redresse face à elle, et tout sourire, continue à débiter des paroles comme un bucheron des tronçons de bois.

"Alors, comment c'est passé votre entretien avec Monsieur le maire de la ville ? Vous a-t-il était d'une quelconque aide ? Est-il caché derrière vous. Il parait que ce désagréable bonhomme vit dans cette auberge ! Enfin enfin, il doit avoir de bon coté pour plaire à notre charmante hôtesse. Je m'en allais faire un tour, vous plairez-t-il de m'accompagner dans cette virée nocturne. Je suis curieux de voir ce que le froid de cette saison dissimule comme trésor. Au moins, si vous sortez, je serais certains d'en avoir un au bras durant cette escapade. Qu'en pensez-vous ma tendre ? "

Evangélina écouta Méssire Faust Revolin en passant de temps en autre, ces mains dans les cheveux pour provoquer son attraction.
Elle le regarda, flattait par son éloge.

_ Mon cher ami, j'ai le sentiment que nous partagions le même centre d'intérêt.
Vous revoir, me procure un des plus grand bien.

Il se pencha vers son oreille et elle se mit à rire

_ Je vous prie de m'excuser mais vous me chatouillez légèrement!

Il reprit sa conversation, son sourire la désarma et elle lui répondit:

_ Pour tout vous dire, je me suis rendu à l'emplacement que vous m'aviez indiquer mais je n'ai vu personne!
Êtes vous vraiment sûre d'avoir croiser son chemin? J'avoue être agréablement surprise que mon frère puisse être désagréable en votre égard.
N'avez vous pas confondu avec le sergent Rapapoulos? Un homme fort aigri au regard libidineux.

Elle attendit sa réponse et rajouta

_ En tout cas, cela ne me déplairais pas de vous accompagner dans cette virée nocturne, à contempler les étoiles et à les compter. Allons y mon ami! Je vous suis!

Elle se sentait tellement bien en sa gente compagnie qu'elle aimait déployer toute sorte d'humour qui puisse l'amuser.

Il prend sa main dans les siennes, et la tapote comme pour lui offrir ses condoléances.

"Et bien, si Monsieur le maire de la ville de Treilles est votre frère, je vous plains. Imaginez un peu, cet homme a eu l'affront de me proposer une passe chez la marchande de plaisir de la ville. Non pas que les plaisirs me déplaise, bien au contraire, mais qu'un inconnu m'invite en ce genre de lieu et me fasse la morale lorsque je refuse, ah non ! C'est de mauvais gout vous ne trouvez pas ? Qu'il y aille tout seul avec son maudit jeton, je le lui laisse volontiers, il est des plaisirs bien plus palpitants de gouter en cet endroit. Enfin passons, l'incident est clos, vous comprenez maintenant pourquoi cet énergumène m'insupporte. Pardonnez mon emportement ma belle. Je m'égare vite, la passion vous savez... Puisque vous me faites l'honneur de m'accompagner, si vous me permettez de vous faire passer le seuil de cette porte, après vous ma douce amie. "

Il accompagne la jeune femme, ne laissant pas sa main échapper à la sienne. Aussitôt la porte franchie, il tire d'un mouvement brusque la charmante pour l'attirer à lui. Sa main de libre vient se nicher au creux de son cou, l'index sur l'arrête de son visage. Cela lui permet de maintenir le visage à distance respectable, en contraste avec l'audace dont il fait preuve. A croire qu'il l'éloigne pour ne pas gouter ses lèvres. Son souffle se meurt en nuages vaporeux. Ses yeux noirs plantés dans les siens, il lui murmure :

"Avez-vous jamais remarqué que la Lune éclipsait les étoiles autour d'elle ? Ce soir ma douce, je serais bien incapable de compter ne serait-ce qu'une étoile, voilées qu'elles sont toutes derrière votre être entier, ravissant et envoutant. "

Sa caresse vient mourir à la naissance de sa clavicule, où les doigts quittent le contact doux de la peau. Il s'écarte d'elle et ajoute avec désinvolture :

"Il fait extrêmement frais ce soir, je vous conseille de vous tenir au chaud. Maigre chaleur que la mienne, mais si vous la désirez, elle est toute à vous pour cette nuit. N'attrapez pas froid, par pitié, j'en souffrirais de vous savoir mal par ma faute. Bien ma belle, vous qui connaissez l'endroit, où pourrions nous trouver refuge pour cette escapade intrépide et aventureuse ? Je pense que c'est moi qui vais vous suivre pour le coup, et me contenterais, si vous me le permettez, de vous protéger contre les assauts du froid de cette nuit digne de vous. Je vous fais confiance et vous suis aveuglement."

Snake poussa la porte, lentement en peinant , avant de se trainer vers une des tables autour de laquel il s'ecroula sur la chaise en guettant l'auberge tout en faisant craquer ses doigts frigorifiés , pourvus que Ladyday ne l'entende pas les faires craquer , elle qui déteste cela.

tien donc , sa soeur en compagnies du monsieur qui à l'air de manger à tout les râteliers , et ou est donc ma douce ?


hey bien sœur je vois que tu grandi enfin ah ah , n'oublie pas que si tu à le moindre ennuie il y a toujours un cachot de libre à la caserne


il lui déclina un clin d'œil avant d'aller se servir une pinte de Sancta Liberius , la bière blonde de l'abbaye romaine qu'il avait fait importer derriere le comptoir en attendant de voire passer sa ladyday .

Evangélina vit apparaitre une ombre, celui de son frère.
Elle pinça fortement la main du messire et lui murmura au creux de l'oreille

_ Mon pardon, cher ami mais sa présence est parmi nous! Je viens d'apercevoir son ombre!
Je vous assure, je ne laisserais en aucun cas, s'accroitre mon fichu imagination!

Il tira brusquement sa main, elle s'apprêta à franchir le seuil de la porte lorsqu'une voix ivre, attira son attention.
Son regard se retourna et les paroles jaillisèrent d'un ton élevé

_ Ah! te voilà Frère! Depuis mon arrivée, je suis désespérément à ta recherche mais je vois que tu n'as pas perdu le Nord!
Je pensais que tu aurais changer mais hélas, personne ne peut t'enlever ce zut fichu verre! Eh bien, puisque c'est comme ça! Je reviendrais te voir une autre fois! En n'attendant, je suis entre de bonne main! Alors à la revoyure Frère Picollon!


Rouge de colère, elle entraina le messire à quitter le lieu sur le champs. Sur le long chemin, elle se remémorait des dernières paroles dite à son frère et se mit à rire. Le mot Picollon était un peu fort, se disait-elle.
Mais les douces paroles du messire la ramena à la réalité. D'un regard attendrissant, elle lui répondit

_ Voilà une bonne question mon cher ami et je ne crains d'être le mauvais exemple! Cela fait fort longtemps que je n'ai pas remis les pieds en ce lieu et je vous avoue que beaucoup de choses ont changé depuis.
Le seul endroit que je connaisse, serait le couvent où nous pourrions trouver refuge! Mais si vous avez mieux, je le prendrais volontiers en grande considération.

Le typam siffle, la main rougit, Seigneur que cette femme a du caractère. Qui change aussi vite que le vent tourne. Un instant désirable, l'autre rombière-poissonnière. Remarquez, il y avait de quoi, être le frère de ce qu'il avait croisé, évidement, cela laisse quelques séquelles... Pour le coup, elle le traine, et d'un pas trop rapide à son gout. Désabusé, ses mots n'avaient pas eu l'effet escompté. Peu importe, les voilà en route vers le couvent. Il essaye d'apaiser sa compagne nocturne avec quelques mots et sa bonne humeur. Au fur est à mesure qu'ils avancent, il se rapproche d'elle, risquant une main sur sa hanche à la fin de son long discours.

"Et bien, arrivé il y a à peine quelques heures, je vous avoue que je ne suis pas au fait des lieux méritants le détour. Mais peu importe le flacon, seul compte l'ivresse. Pour le coup, je ne sais pas si la comparaison est la bienvenue... Enfin vous comprennez que seul votre présence compte ! Mais un couvent, pourquoi pas, je suis certains que nous pourrons trouver de quoi nous occuper. Ce lieu incongru pour une escapade nocturne sera fort plaisant en votre compagnie. Allons-y se sera amusant, très amusant ! Et la prochaine fois, c'est moi qui trouverais le lieu de notre nouvelle escapade. Hum, c'est de quel coté ?"

Evangélina rattrapa sa main avant qu'elle ne soit trop baladeuse à son goût.
Elle le regarda puis souria pour qu'il soit envouter par son charme et pour lui faire oublier son geste.
Ils continuèrent à avancer, d'un mouvement rapide d'un point qu'elle devait lui tirer le bras pour accélérer ses pas.

_ Nous nous approchons mon cher ami! Le bâtiment qui se trouve face à vous! Dépêchons-nous avant que les portes ne se renferment!

Elle se mit à courir en l'entrainant fougueusement. Arrivé à destination, toute essoufflée.

_ Voilà, nous y sommes!! Si vous voulez bien, je vous laisse pénétrer le premier en ce lieu et je vous suis!

Elle l'accompagna toujours la main dans la sienne tout en reprenant calmement son souffle.